Concernant l’usage des antibiotiques, l’objectif visé par tous les acteurs de la filière porcine est de le réduire au minimum pour traiter les maladies en pouponnière et en engraissement, en ciblant mieux les besoins et en réduisant les durées de traitements.
Pour y arriver, la détection hâtive des maladies est primordiale. L’œil attentif et l’expérience de l’éleveur sont des éléments clés mais peut-on faire mieux avec des technologies pouvant compléter, voir améliorer nos talents en la matière ?
C’est ce que notre équipe au CDPQ a validé en testant différentes technologies applicables en ferme pour détecter les porcelets malades en pouponnière et en engraissement. Un des constats obtenus dans le cadre de ce projet est que notamment, les données de comportement alimentaire nous permettent effectivement d’être plus performants pour la détection de maladies que par la seule observation visuelle des animaux.
Vous aimeriez en savoir sur les résultats de ce projet ? Consultez notre article Porc Québec et le rapport final en visitant notre section «
Projets de recherche »